Histoire

Histoire de la Rocher Noir et des Irlandais à Montréal

En lire plus sur l’incroyable histoire du monument de Black Rock

Le plus grand cimetière d’Irlandais en dehors de l’Irlande

Érigé pour la première fois en 1859 par des ouvriers irlandais qui construisaient le pont Victoria, le Black Rock est le seul signe extérieur qui subsiste des quelque 6 000 immigrants enterrés sur les rives du fleuve Saint-Laurent à Pointe-Saint-Charles. Le monument rappelle un moment crucial du développement culturel de notre ville et l’effort humanitaire le plus important de l’histoire du Canada jusqu’alors. Depuis plus de cent ans, le Rocher porte le lourd fardeau de la commémoration de ces victimes de la famine et du typhus ainsi que des Montréalais qui sont morts pour leur venir en aide. En savoir plus sur l’histoire mouvementée de la pierre et sur la tragédie de la famine irlandaise.

1847 est l’année intermédiaire d’une famine de cinq ans en Irlande. Appelé à l’origine « la famine des pommes de terre », l’événement est actuellement appelé « la grande faim ».

Les archives détaillées sont rares, mais on estime qu’un million ou plus d’hommes, de femmes et d’enfants sont morts en Irlande pendant cette période et qu’environ un million d’autres ont quitté l’Irlande à la recherche d’une vie meilleure.

Sur le million de personnes qui ont quitté l’Irlande, on pense qu’environ 100 000 se sont dirigées vers ce qui était alors les colonies de l’Amérique du Nord britannique (aujourd’hui le Canada).

Ces immigrants étaient pauvres, mal nourris et porteurs de la redoutable « fièvre des navires », connue aujourd’hui sous le nom de typhus : une maladie très contagieuse et mortelle.

Alors qu’ils se rendaient au Canada, beaucoup sont morts au cours du voyage et ont été enterrés en mer dans les eaux froides de l’Atlantique. Il est difficile de déterminer combien de personnes sont mortes pendant le voyage, les estimations variant largement de 5 000 à plus de 15 000.

Mise à jour : juillet 2022

Mise à jour : juillet 2022

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Histoire du « Black Rock »

Histoire du « Black Rock »

Résumé de l'histoire du " Black Rock " 1847 était l'année médiane d'une famine de cinq ans en Irlande.  Appelé à l'origine "la famine des pommes de terre", l'événement est actuellement appelé "la grande faim". Les archives détaillées sont rares, mais on estime...

Canadiens d’origine irlandaise remarquables

Les immigrants irlandais ont joué un rôle majeur dans l’histoire du Québec et du Canada, contribuant à façonner notre culture, notre musique, notre gouvernement et notre identité. Nombre de ces personnages historiques étaient des descendants des immigrants survivants qui ont fui vers le Canada lors de la Grande Famine de 1847.

Mary Rose-Anne Bolduc, née Travers, (1894 – 1941), mieux connue sous le nom de La Bolduc, qui a été une auteure-compositrice-interprète vedette aux débuts de l’enregistrement et une musicienne professionnelle à succès à une époque où cette vocation n’était pas facilement accessible aux femmes.

Thomas D’Arcy McGee (1825 – 1868), homme politique irlando-canadien, porte-parole catholique, journaliste, poète et père de la Confédération canadienne. He moved to the Province of Canada in 1857 and worked hard to convince the Irish Catholics to cooperate with the Protestant British (members of the church) in forming a Confederation that would make for a self-governing Canada within the British Empire.

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Archaeology sur le site

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Faits Irlandais au Québec

École d'études irlandaises de Concordia

Montréal vient en aide aux réfugiés irlandais de la famine qui souffrent du typhus

Alors que des dizaines de milliers d’immigrants irlandais victimes de la famine et infectés par la « fièvre des bateaux » (typhus) inondent les côtes de Montréal, les habitants de la ville leur viennent en aide, souvent au prix de leur propre vie. Le Typhus de Hamel, seule peinture contemporaine de l’événement, représente les trois congrégations religieuses féminines qui ont joué le plus grand rôle dans l’effort de sauvetage : « Tout d’abord, les Sœurs Grises se sont données corps et âme aux redoutables travaux de l’immense lazar-maison….. Puis les Sœurs de la Providence… prirent place à côté des lits de bois semblables à des cercueils des malades de la fièvre dans les hangars… Lorsque ces deux grandes communautés se révélèrent insuffisantes pour prendre soin de la multitude toujours croissante des malades, il se produisit un événement qui frappa toute la ville d’admiration. Les hospitaliers cloîtrés de Saint-Joseph [or Hôtel Dieu nuns]Ces derniers, que les citoyens de Montréal n’avaient jamais vus que derrière les grilles de leur chapelle ou de leur parloir, ou dans leurs propres salles d’hôpital, demandèrent à l’évêque de les dispenser de leurs vœux de longue réclusion, afin qu’ils puissent aller au secours de leurs chères communautés sœurs dans l’atmosphère pestilentielle des étables à fièvres. Le maire de Montréal, John Mills, a lui aussi perdu la vie en aidant aux abris contre la fièvre de Pointe-Saint-Charles.

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